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Aux Etats-Unis, les investisseurs semblent miser de plus en plus sur l'exploitation de la richesse des astéroïdes en métaux précieux et en eau sous forme de glace.
En avril 2012, un premier groupe d'entre eux avait dévoilé l'existence d'une entreprise (qui comptait 25 ingénieurs), baptisée Planetary Resources Inc., pour exploiter cette ressource spatiale. Ils affirmaient que selon leurs calculs, «un simple astéroïde de 500 mètres de long renferme une quantité de platine équivalente à la totalité de ce métal extrait dans l'histoire de l'humanité».
Aujourd'hui, une deuxième société, Deep Space Industries, déclare son intention de participer au développement de cette céleste industrie. Elle prévoit de lancer, à partir de 2015, une flotte de sondes de 25 kilos appelés «FireFlies» ("lucioles") , pour identifier les astéroïdes les plus intéressants.
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Dans une interview au quotidien allemand Spiegel, un professeur de génétique d'Harvard, George Church, lance un appel en direction des femmes afin de trouver une mère porteuse "téméraire" en vue tenter de donner naissance à un bébé néandertalien.
Spécialiste de la biologie synthétique, ce chercheur, dont le but est de recréer certains des organismes in vitro, grâce à de l'ADN, trouverait utile de créer un homme de Néandertal pour tirer profil du capital génétique de "cette espèce d'homme disparue il y a environ 28.000 ans".
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La future capsule Orion, conçue à l’origine pour un retour sur la Lune et censée permettre aux astronautes de dépasser l’orbite terrestre basse, sera dotée d’un module de service fourni par l’Agence spatiale européenne (ESA). Des détails sur cette coopération viennent d'être donnés par la NASA et l’ESA: ce module, constitué à partir du cargo automatique ATV, apportera à Orion sa propulsion, sa navigation, l’alimentation électrique, le contrôle thermique mais aussi l’eau ou l’air des astronautes.
Comme le rapporte le journaliste Sylvestre Huet, la NASA prévoit un vol de qualification en 2017, sans astronautes à bord, avec une tournée Terre/banlieue lunaire/Terre.
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Des travaux, publiés dans la revue Science, montrent que, lors de l’accrétion de la Terre, à partir des météorites les plus communes (chondrites ordinaires, chondrites carbonées), est généré un noyau riche en oxygène, issu de la migration du métal au centre de la Terre primitive. La présence de quantités significatives d'oxygène dans le métal (~5 poids %) n'avait pas été mise en évidence par les études précédentes à plus basse pression et plus basse température.
Ce nouveau modèle s'avère satisfaisant, puisqu'il conduit à des abondances du chrome (Cr) et du vanadium (V), dans le manteau silicaté résiduel, compatibles avec celles connues dans le manteau.
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Une étude, dont les résultats intitulés «A Galactic short gamma-ray burst as cause for the 14C peak in AD 774/5» ont été publiés dans la revue MNRAS, suggère que le phénomène à l'origine des rayonnements cosmiques ,enregistrés dans les anneaux de troncs d'arbres, datés de 774/775, serait dû à la collision de deux objets stellaires très compacts (trous noirs, étoiles à neutrons ou naines blanches) susceptibles de provoquer le déchaînement d'énergie et de rayonnements électromagnétiques recherché.
Cependant, s'il en est ainsi, la fusion a dû survenir à au moins 3.000 années-lumière, faute de quoi toute forme de vie aurait été rayée de la surface de notre planète.
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