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Une étude, publiée dans Nature Climate Change, dimanche 13 janvier, estime que dizaines de millions de personnes pourraient échapper à des inondations ou à la sécheresse d'ici à 2050 si les émissions de gaz à effet de serre, à l'origine du changement climatique, étaient plus fortement et plus rapidement limitées. Rapportée par la journaliste Audrey Garric, dans le journal Le Monde, ce travail considère, en effet, qu'au total de 20 % à 65 % des impacts négatifs prédits par les scénarios pessimistes du GIEC pourraient être évités d'ici à la fin du siècle grâce à des mesures ambitieuses.
L'article relève, cependant, que le scénario d'un pic des émissions en 2016 apparaît difficilement atteignable alors que la communauté internationale s'est fixé la date de 2015 pour parvenir à un accord mondial sur les réductions des gaz à effet de serre qui entrerait en vigueur en 2020.
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Une étude, publiée dans la dernière édition du Journal of Herpetology, rapporte la découverte, dans la forêt du Sud-Vietnam, d'une nouvelle espèce de grenouille volante, «Rhacophorus helenae», qui est sensiblement plus grosse que les autres spécimens de la même famille.
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Une étude, publiée dans la version en ligne des Annales de l'Académie nationale des sciences (PNAS) datées du 14 au 18 janvier, montre, grâce à un jeu, que les Chimpanzés ont le sens de l'équité, un trait que l'on attribuait seulement aux humains.
Ce travail donne des pistes aider à mieux comprendre l'origine de l'aversion humaine pour l'inéquité.
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Née sans langue, une jeune Brésilienne, aujourd'hui âgée de 23 ans, est capable de parler grâce à sa mère et à un long traitement. Elle suit des cours pour devenir infirmière et affirme mener une vie normale.
Cette anomalie entraîne généralement la mort, ce qui fait qu'il existe très peu de cas semblables dans le monde. Par conséquent, ce succès soulève l'intérêt de nombreuses associations pédiatriques dans le monde.
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Un robot-cafard à six pattes, velociRoACH, conçu au laboratoire de biomimétique millimétrique de l'université de Berkeley, en Californie, qui ne mesure que 10 centimètres, est le plus véloce du monde par rapport à sa taille: il peut, en effet, atteindre une vitesse de 2,7 mètres par seconde, soit près de 10 km/h, parcourant 27 fois la longueur de son corps en une seconde, ce qui équivaudrait pour un homme de 1m80 à se déplacer à 175 km/h.
De tels petits robots bioinspirés, de fabrication très économique, pourraient, dans le futur, être envoyé par légions sur les lieux de catastrophes pour retrouver les éventuels survivants coincés dans les décombres.
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